Festival international du film fantastique de Menton
9e Fantasy Film Festival
du 23 octobre au 26 octobre 2025 à Menton
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Jacqueline Sauvage, c'était lui ou moi
Jacqueline Sauvage, c'était lui ou moi
( 90 mn - 2018)
Jeudi 21 novembre sur cherie 25 ou en replay sur TF1+
Armelle Deutsch dans le Téléfilm
Jacqueline Sauvage: c’était lui ou moi
Réalisé par Yves Rénier, avec Muriel Robin, Olivier Marchal,
Alix Poisson, Samantha Rénier
Sujet :
Jacqueline Sauvage est une mère de famille, victime de violences conjugales, qui abat son mari après une violente dispute en 2012. Condamnée à une peine de 10 ans de prison, un mouvement voit le jour pour défendre l'idée qu'il s'agissait de légitime défense. ...
Un téléfilm porté par Muriel Robin dans le rôle de Jacqueline Sauvage avait réuni pratiquement 8 millions de téléspectateurs le 1er octobre 2018 sur TF1. La chaîne Chérie 25 le rediffuse, ce jeudi 21 novembre 2024 à 21h05.
Réalisé par Yves Rénier, sur un scénario de Marie Deshaires, Catherine Touzet, Jean Falculete et Négar Djavadi.
Cette fiction est inspirée du livre autobiographique Je voulais juste que ça s'arrête écrit par Jacqueline Sauvage, une mère de famille condamnée en première instance et en Appel à une même peine de dix ans de réclusion pour avoir abattu son mari, Norbert Marot, de trois tirs dans le dos effectués avec un fusil de chasse le 10 septembre 2012. Elle est graciée par François Hollande et libérée en 20161.
Ce téléfilm présente entre autres le principal moyen de défense invoqué, à savoir l'affirmation de l'existence de violences et d'abus sexuels subis par l'accusée et ses filles durant plusieurs décennies, ainsi que la tentative infructueuse de la défense de présenter les faits jugés comme relevant d'un acte de légitime défense.
Présentation du livre :
Quarante-sept ans de mariage. D'abord une histoire d'amour, comme il y en a tant d'autres. Mais très vite, les insultes, les coups, l'engrenage de la violence. L'homme à qui Jacqueline Sauvage a confié sa vie l'a transformée en enfer, régnant sur le foyer en véritable tyran. Jacqueline qu'il blesse, qu'il torture au quotidien mais aussi leurs enfants qu'il humilie, qu'il frappe, qu'il terrorise. Tous partagent le même sentiment paralysant : la peur. Cette peur qui les empêche de partir, qui les empêche de le dénoncer. Et puis il y a ce lundi 10 septembre 2012. Ce jour où, après une ultime agression, Jacqueline commet l'irréparable. Trois coups de fusil. Le bourreau est mort. Elle l'a tué. Le 28 décembre 2016, François Hollande a gracié Jacqueline Sauvage.